Les arbres ouvrent les fesses aux érections,
Elles sont écrasées par le fer et par le dur
Toujours plus hautes, toujours plus grosses,
Toujours nuisibles, toujours plus grises
Avec des cheminées levant des têtes
Vers le haut, ouvertement vers les cieux
Cachant la terre, le ciel et même le soleil
savoir faire humain souvent plein de crise
Avec ta fumée l avenir sera surprise
La faune, la flore petit à petit se brise,
Je vois la faune tousser a cote d elle
La flore en larmes sur les cotes belles
Avec ta fumée l avenir sera pleins de crises
Arrêtons
Protégeons
Arrêtons cette fumée qui ferme les pores
De la douce peau céleste mourant de pleurs
dans d épaisses et poisseuses fumées noires
Le ciel ne tardera pas a nous dire comment
Les traîtres et les coupables, violemment
Seront traites ; vite, arrêtons décemment
Commençons nous même différemment
Toi ne jettes plus tes sacs sales et bicolores
Dit a l’autre : ne coupe plus ces arbres !
Ne les dérange plus, laisse les grandir
Si non, le ciel soutirera ses seins aliénatrices
D un coup de tonnerres tes beaux édifices
Tremblent puis s écroulent aucune orifices
Le beau corps du cosmos est sans faiblesses
Tous les êtres et les corps dans son corps
L un sur sa tête, l autre son garde corps
Une autre en attente dans son utérus
L'une des vocations essentielles de mon blog est d'ouvrir les portes à la poésie et toutes les production litteraires qui sont en train de s'écrire ou de naitre.ces
nouveaux nees vont peupler les anthologies de notre futur.
Mon site est ouvert a ceux qui veullent partager leurs ecrits avec nos correspondants sur le réseau des réseau.
Chaque trimestre, un choix de poèmes peut etre publié dans notre revue
la mouette
Le soleil jette ses rayons dores sur la mer
Des vagues douces les absorbent en l air
Il est temps de commencer ma danse
Les oiseaux de mer voltigent, je rentre en transe
S approchant, chantant et balançant les ailles
Une mouette flottait j l attrape par la bague
Cajolant dorlotant mignotant et chouchoutant
Avec mes mains, elle me tend son rostre
Puis sa langue fraîche pleine de délices
D un battement de pieds, la mouette jette
Ses blanches mousseline, ma bouche est pleine
D envie je suce ses lèvres cimentées et ambréine
La voyant frissonner, je la couvre de caresse
Mise dans le drap de mon corps lourd la comtesse
Gémissait de plaisir, m enclave avec plaisir.
Le soleil jette ses rayons dores sur la mer